Docteur Pang  :

"Si votre pratique, vous fait sentir très bien vous pouvez changer. (...) Si votre pratique est si agréable que vous voulez continuer et que vous changer pour une autre pratique qui est elle aussi est très agréable, et puis une autre, alors vous allez  vous réjouir de pratiquer et cela restera. Le bon moment pour changer, c'est quand la pratique est parfaite.  (...) La pratique devrait être  intensive mais elle devrait être    créative, comme un art ; Vous vous sentez très beau et heureux à l'intérieur. En tant que pratiquant, nous devrions expérimenter notre pratique quotidienne comme un art." 

Later méthods of zhineng qigong and taiji traduit par le professeur Wei qifeng et patricia Fraser

Treizième   jour :  Mardi 28

Professeur Tao QingYu

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Le professeur Tao utilise comme fil conducteur de sa pratique des explications sur l'état    de qigong. Comment y entrer ? Pourquoi ? Comment l'approfondir ? Comment pratiquer avec ? Vivez le cours avec votre coeur autant qu'avec votre tête pour comprendre et connaitre l'état de  qigong.

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Pratique : Organisation du champs de qi, Laqi, Chen qi,  laqi,  Déverser le qi  

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Questions du groupe, Comment faire face à la douleur dans chenqi ? Qu'est ce qu'en dit docteur Pang. Ming menn est il toujours en arrière ? 

Témoignage sur la prise de conscience que la connaissance provient    de la pratique elle même. 
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Onzième   jour :  Dimanche 26

Professeur Xi Xiaofeng et Sun Yu

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Professeur Xi :    Organisation du champs  de qi

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 Professeur Xi : Réponses aux questions  : Laqi, hui yin,  dépasser la douleur,  chenqi

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Professeur Sun Yu : Pratique de la   chenille et soin complet

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Questions du groupe, deux grandes questions  aujourd'hui :   Pourquoi  le  docteur Pang dit    que les animaux et les plantes n'ont pas de conscience  ?  Comment le processus d'évolution fonctionne ? 
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Neuvième   jour :  Vendredi 24

Professeur Lü Junfeng

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Pratique : Chenille,  tourner   le bassin, organiser le champs de qi, 3 centres s'assemblent, laqi

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Pratique :  pencher  le corps en avant,  chenqi, laqi, tirer/pousser,  déverser le qi, soin complet

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Pour cultiver   un cœur    pur  et  calme

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Quand un pratiquant ne pense rien et n'a pas de pensées, cet état est proche du calme naturel de la pure conscience, ce qui veut dire que les informations extérieures peuvent facilement être reflétées et connues. (l'état du miroir décrit par le professeur Xi)

La méthode à pratiquer pour avoir un cœur  pur et  calme.

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Debout, assis ou coucher dans une position confortable. Dites silencieusement 『xu yin』(虚音) Au début, seulement vous, pouvez vous entendre alors que vous faites correctement les mouvements avec la bouche, la langue, etc. Après un moment, réciter 『xu yin』 simplement dans votre tête, vous pensez le son xu yin dans votre conscience et vous ne faites plus le mouvement avec la bouche. Vous pourrez faire l'expérience de l'état de conscience spécial Xu wu (虚 无 vide sans être vide) qui provient du rappel du son xu yin.

Par le docteur Pang  He ming

dans les capacités paranormales, les techniques de la science du    zhineng qigong

Prononciation correcte en français

xu :  le son "x" est entre "s" et "ch"  C'est un son "s" comme avec un cheveux sur la langue :   s/chuuuuuuu

Yin :   yiiiiii  - ine

Le professeur reprend. Dans un français qui, à défaut d’être orthodoxe, vaut néanmoins pour la clarté de ses images, il joue d’une question rhétorique : « Et le qì c’est comment ? Kōng kōng dàng dàng huăng huăng hū hū (空空荡 荡恍恍惚). Vide, immense, flou flou, pas tellement visible ». Dans un même mouvement, mes yeux, toujours clos, s’écarquillent. Ils emportent avec eux mes sourcils, plissent mon front, et l’espace entier m’apparaît soudainement à vif, comme si quelques forces en avaient saisi les confins et l’étiraient de toutes parts. Je ne sais plus exactement où se trouve mon attention. Si la sphère flottante se distingue toujours par son éclat et sa densité, mon regard s’est dissous dans un espace dont j’ai l’impression d’habiter chacune des impossibles extrémités. Et cet espace semble remué, comme s’il était en fusion, comme si des vagues, ou plutôt des courants marins, déplaçaient des masses de part en part dans un grand fracas. Je lutte pour ne pas m’enfuir de cette tempête. Il me suffirait peut-être d’ouvrir les yeux, de regarder le professeur au milieu de l’air immobile et vide pour apaiser mes remous intérieurs. Mais la voix de Zhang Wen Chun reprend : « Regardez băi huì (百會). Băi huì suspendu dans le Ciel. Le qì du Ciel descend de băi huì jusque dans le dān tián ». Planté au sommet du crâne, băi huì est le point central de la porte du Ciel. Mon regard remonte le long de mon corps, passe à l’arrière de mes yeux, et s’installe à l’extrémité supérieure de ma tête dans ce qui s’apparente à un observatoire tendu vers les étoiles. Alors, la voûte céleste s’effondre, comme aspirée par băi huì. Je la sens descendre. Et le Ciel et ses astres s’écoulent à travers moi, se mêlent et attisent le foyer crépitant dans mon bas-ventre. Mon crâne, ma gorge, ma poitrine se sont faits les « vecteurs » d’une douce force qui, à la manière d’une pluie chaude, ruisselle agréablement en moi jusqu’à mon bas-ventre

texte issue de cette page que je ne connais pas : https://journals.openedition.org/danse/1675